Catégorie : vie qotidienne ou rencontres je suppose, mais ca n'a pas trop d'importance

Encore de la misogynie

C'est le printemps et je n'ai plus envie de passer mon temps à écrire ici. Faites comme moi, respirez le grand air, sortez, faites du sport, appréciez le soleil et la nature. Si néanmoins, vous êtes bloqué chez vous, que vous insistiez à lire un nouveau article sur ce site et que vous consentiez à " gaspiller " un petit instant de votre vie, alors on va partager ensemble mes petites réflexions de la journée, misogynes mains néanmoins très rigolotes et instructives sur une certaine partie de la gente féminine française. Et si vous avez plus de temps encore, arrêtez-vous sur les mots et essayez de vous demander ce qu'elles représentent vraiment.

Je discute de temps en temps avec une miss de notre chère INT d'Evry, école d'ingénieurs que vous devez connaître à partir de l'article n°4. Mais je dois dire que discuter n'est pas le bon mot avec elle : pour l'intéresser vraiment, je devrais entrer dans un mode de communication différent. Après avoir décortiqué les couches extérieures, on voit qu'elle aime s'asseoir confortablement, et rêver, se demander quarante mille choses, rêver, rêver, écouter son cœur et rêvasser. Elle adore sentir, être sensible, avoir des sentiments et ensuite parler avec ses copines comment elle le sent, quand elle l'a sentie, comment exactement elle l'a senti, si elle va le sentir encore, si elle peut le sentir avec quelqu'un d'autre, si elle le sent bien, si elle le sent mal, si elle sent le sentiment, et si elle sent comment ses copines sentent comment elle se sent à propos de ce qu'elle sent quand elle le sent. C'est l'essence primordiale de sa communication. ;-) C'est toujours rigolo pour moi mais c'est certainement quelque chose que je ne ferais jamais. J'ai une vague impression que cela s'étend en fait à toute (et exclusivement d'ailleurs) la gente féminine.

Ce qui m'amuse moins par contre, c'est que c'est aussi typiquement le genre de femmes qui n'arrête jamais de se plaindre. A cause d'elle tout particulièrement, j'aime bien penser maintenant que se plaindre est un sport pour les femmes. Je connais d'autres filles à Evry, ou ailleurs, qui se plaignent moins ou d'autres qui n'arrêtent jamais, mais je suis sûr maintenant qu'ELLES ne vont jamais s'arrêter, jamais jamais , de la même manière que les hommes ne vont jamais s'arrêter de discuter de football ou de sport. Les hommes ont bâti des civilisations, créé les lois, domestiqué les animaux, construit des gratte ciels et les 7 merveilles du monde, inventé les voitures, les machines à laver et le chauffage, les antibiotiques, les toilettes, les ordinateurs, les fours à micro-ondes, et ont sorti l'humanité des grottes pour l'installer dans des maisons modernes, confortables et pratiques. Ne vous faites pas d'illusions : les hommes ont tout fait (sauf peut-être créer le mariage ). Si on avait fait confiance aux femmes à ce sujet, on serait encore en train de vivre dans des grottes rustiques avec une espérance de vie d'une vingtaine d'années. Et je sais que les hommes ont fait tout cela parce que je sais pourquoi ils l'ont fait : ils ont espéré secrètement ou consciemment que de cette manière, les femmes s'arrêteraient de se plaindre. Ce qui ne se produisit pas. :-(

Pour parfaire le tout, elle est compliquée, parfois menteuse, parfois manipulatrice, parfois coquine, au fond d'elle-même une petite diablesse aimant les sales histoires, aussi vicieuse que calculatrice, et change d'opinions aussi souvent qu'elle change de paire de chaussures. J'imagine qu'elle est doit être aussi sans scrupules ni honte; et s'il n'y avait pas ses copines, elle serait un sacré bon modèle de créature machiavélique, l'antithèse complète de la droiture et de l'intégrité. Et comme toutes les filles savent probablement le faire, elle sait créer le drame à partir de rien. Mais … bon dieu, je l'adore ...… (et ne vous méprenez pas encore, c'est dans le sens : elle me fait marrer...)


La vie est rigolo, n'est-ce pas ?


Maintenant que les petits moments de réflexion communes sont finis, je pense que vous avez votre dose de philosophie pour la journée ; et je juge l'instant opportun (pour tout le monde) pour aller vivre, sortir explorer ce beau monde tout autour de vous et agir.

 

Fin Mars 2003

 

Voir l'article 37